La maison ancestrale de Madame Lucia
et de son mari Serafin à Lires est un vrai trésor de souvenirs. On imagine
facilement les parents de Lucia y voir grandir leurs enfants. Lucia nous sert
le déjeuner avec le sourire et dans la vaisselle raffinée de son enfance.
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A la Casa Lourido |
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Bye Bye Senora Lucia |
Nous quittons Lires vers 9h00. Les
sentiers sont encore mouillés par la pluie tombée durant la nuit, mais le soleil
brille. Même les vaches nous accompagnent sur le chemin ce matin. Le fermier nous trouve bien drôle de les photographier.
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Il a plu cette nuit |
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En compagnie des vaches ce matin |
Pendant une bonne partie de la journée,
nous marchons en compagnie des éoliennes.
Nous sommes loin de l’autoroute des pèlerins du Camino français; nous
rencontrons très peu de marcheurs. La descente vers Xurarantes se fait sur un
large chemin bordé de blocs de granit pour indiquer le sentier des
piétons. C’est aussi l’occasion de s’asseoir
pour se reposer car aujourd’hui, il n’y a aucun café-bar, ni table de
pique-nique entre Lires et Muxia.
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Au loin, les éoliennes |
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A gauche, le chemin |
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La traversée des éoliennes |
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Pour indiquer le sentier des marcheurs et pour s'asseoir |
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Nous voilà à Xurarantes |
Nous approchons de Muxia par un
croisement de routes fraîchement goudronnées et nous marchons pendant 3
kilomètres le long de la mer. Au loin, de gros nuages envahissent le ciel. Ça y
est, nous avons droit à une douche de 5 minutes et juste le temps de sortir nos
manteaux de pluie. Puis le soleil
réapparaît et nous nous rendons à l’albergue Bela Muxia où nous retrouvons la sympathique
Natalie.
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Changement de paysage |
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Heureusement, il y a la mer |
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Mauvais temps à l'horizon |
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Arrivée à Muxia tout mouillé |
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Notre arrivée à Muxia |
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Notre chambre à Bela Muxia |
Après dîner, nous allons marcher le
long du port et nous descendons vers la plage au sable fin. La fin de l’après-midi
se passe à faire la sieste jusqu’au souper.
Serge commande encore des pimientos de Padron. C’est comme la neige, on
aime ça au début mais à la fin on n’en veut plus. C’est comme ça que je me
sens. Nous faisons nos adieux à Natalie qui prendra l’autobus tôt demain matin
pour retourner à Santiago. Pour nous, ce
sera une autre journée à Muxia à se la couler douce.
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La promenade le long du port |
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Natalie est la seule à mettre les pieds à l'eau |
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Je préfère admirer le paysage |
A Muxia on avait eu, comme on dit en France, un temps de Normandie!!..C'est à dire une pluie professionnelle!!.J'espère que vous n'êtes pas trop nostalgique à l'idée de ce pélerinage très riche certes, mais si vite passé!!
RépondreSupprimerProfitez du dernier jour de détente avant votre retour au Pays.
Quant à la traversée Atlantique en pédalo..j'ai calculé:en pleine forme ,à nous deux ,vraiment motivés en quelques heures c'est fait!!!J'y réfléchis et j'te dis!!
Grosses bises !!Martine
Je vous imagine en train de vous pratiquer sur le bord de la mer. Si ça arrive, on veut une photo.
SupprimerOn pourra dire que Serge a fait une véritable cure de piments de Padron ! mais quelles sont donc leurs vertus ? Catherine
RépondreSupprimerCatherine, l'effet des piments sur Serge est qu'il a fait une bonne provision de vitamines C. Et il a conquis des coeurs.
RépondreSupprimerParles moi de ça du monde qui sort la belle vaisselle tous les jours!
RépondreSupprimerMoi aussi, je me suis faite cette réflexion concernant les piments de Padron. Patricia, va peut-être falloir que tu regardes pour trouver une recette!
Serge a déjà trouvé la recette sur internet. Il restera à en trouver au supermarché de Whitby.
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